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fraternité humaine
21 juillet 2014

A Gaza l’enfance décimée refleurit en joie

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Des rapaces planent , jour et nuit, sur le ciel de Gaza et s’abattent brutalement impitoyablement sur les enfants.  Au lit, sur les bancs de l’école, sur une plage… Ces rapaces, des bombes et des missiles précisément guidés, assassinent l’enfance innocente. Les enfants de Gaza sont tous au viseur du soldat israélien. La vie de ces faibles créatures n’est qu’une brève trêve avant que la mort ne les rattrape. Déchiquetés, ils sont ensevelis dans leurs haillons, dans le deuil mais sans funérailles.

Gaza perd ses enfants. Quand le rêve s’envole en poussière, l’avenir s’envole avec. Car peut-on espérer un avenir de Gaza sans ses enfants ?

Qui peut nier ou justifier une telle boucherie, lâche, commise avec préméditation, sous le regard d’une fausse communauté internationale ? Les conventions, les droits internationaux relatifs aux droits de l’Homme et de l’enfant en particulier tombent à l’eau. Qui est complice dans l’assassinat de l’enfance à Gaza ? «  Ce n’est pas moi » dit le militant des droits de l’Homme. Human Rights Watch , aveugle, ne voit plus rien, Transparancy Internationale baigne dans l’obscurité… Quand il s’agit des transgressions commises par Israël, ces ONG de pacotilles se précipitent à mettre la tête dans la sable. «  Je n’ai rien vu, puis la Palestine ça me dépasse… » Rétorque le porte parole des Nations Unis. «  à dire vrai, chaque enfant tué à Gaza est un terroriste de moins » affirme Israël, une arrogance habituelle. Avocats de diable, L’Europe et les USA applaudissent et Israël obtient gain de cause.

Mais quand la machine militaire d’Israël  reprend le chemin des casernes, l’enfance fleurit à Gaza, court riante et rêveuse, admirant le soleil et les étoiles brillants dans le ciel.  Elle est plus attentive au chant faible, amusant d’un moineau qu’au vrombissement menaçant d’un avion militaire, monstre des cieux. Et quand ces monstres rentrent dans leurs bases, les enfants de Gaza jouent dans les rues, sur les toits, dessinent leurs rêvent sur les murs fissurés. Leur bruit se répand partout , c’est un hymne à la vie sur le territoire de Gaza…

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